Comte Stärnberg

Aristocrate et industriel enrichi pendant la Guerre.

Pas de lien avec la Faucheuse, mais utilisant des esclaves pour ses industries. Centaines de milliers de morts (camps de travail, bordels, esclaves à usage « familial »).

Les survivants ont encore le logo Stärnberg marqué au fer rouge sur le front.

Après la guerre, il mène une vie mondaine, s'affichant fréquemment à l'Opéra, dans les restaurants chic et au bras d'actrices - et fait partie des Dignitaires.

Il tente d'influencer la politique dans un sens autoritaire et "impérialiste" envers les pays vaincus pour conserver son vivier d'esclaves et ses matières premières. Il ne gère plus lui-même ses entreprises, mais vit de leurs revenus.

Il finance des groupes terroristes (de tous bords) pour maintenir un certain niveau de tension et de désordre, dans le but également de vendre des armes.

Il finance notamment la Milice, qui le déteste (pour son origine aristocratique), mais qu'il espère instrumentaliser.