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Chronologie générale

1879 : Début de la guerre (dite "Grande guerre") entre la Nouvelle Alliance Continentale entre les Etats Nouveaux Unis, puis quelques mois plus tard, entre la Nouvelle Alliance Continentale et les Principautés Fédérées.

1881 : Fin de la guerre avec les Etats Nouveaux Unis.

1885 : Fin de la guerre avec les Principautés Fédérées.

1886 : Fin 1885, le pouvoir légitime (c'est à dire le Gouverneur, responsable local de la Nouvelle Alliance Continentale) s'effondre à Azthath et un cartel de Dignitaires corrompus, cherchant à profiter violemment de la victoire plus que la politique officielle ne l'a défini, et alliés à une Milice d'anciens combattants faisant régner la terreur dans les rues (et poursuivant elle-même, mais sans succès, ses propres buts politiques) prend les commandes.

Janvier 1886 : Guerre-éclair entre les Hidalgues et les Allémaniques. Azthath est bombardée à nouveau. En moins d'un mois le régime s'effondre la Nouvelle Alliance Continentale, qui se résume quasiment aux Allémaniques à présent, reprend le pouvoir.

Pour obtenir un soutien dont elles ont besoin, les Allémaniques proposent à la Britanie et à l'Aslavie d'intégrer complètement la Nouvelle Alliance Continentale. Un nouvel ordre plus "septentrional" naît donc au seins d'une Nouvelle Alliance Continentale étendue. Les Hidalgues sont maintenues sous une surveillance particulière et une tutelle informelle.

La Milice est vaincue sur le territoire de la Nouvelle Alliance Continentale mais son chef Arne Medicis et ses troupes s'installent sains et sauf sur le continent américain.

1915 : Etablissement total de la Grande Région lors du Congrès de Perdès le 26 Juin. Décision est prise d'effacer toute trace historique des conflits de 1879-1885 - le Grand Pardon, ainsi qu'il s'appelle, est un vaste "nettoyage" des archives, des programmes scolaires et universitaires, des musées, etc. Il s'agit concrètement de détruire à la base toute possibilité de rancoeur historique et de désir de revanche. Une histoire fictive est élaborée par un conseil d'historiens, de dirigeants et de personnalités issues de la société civile, puis adoptée. Etonnamment, la société auropéenne adhère dans sa grande majorité à ce "nouveau départ".